L’échec de l’aviation militaire pendant la guerre

L ‘échec ignominieux de l’ armée française en juin s’est produit même si elle avait beaucoup plus de chars et d ‘armes contre – aquarium que la Wehrmacht. Dans lequel les Français étaient pauvres, c’était dans les avions de combat, bien que le déficit en nombre ait été peut-être beaucoup moins considérable qu’on ne le prétendait parfois. Mais de nombreux documents citent la très faible efficacité de l’armée de l’air française, comme étant l’une des principales raisons de la victoire de la France. Était-ce mauvais comme nous avons été amenés à le penser? Pour sa stratégie occidentale traditionnelle, les Allemands ont eu accès à environ 1000 chasseurs à générateur individuel Messerschmitt Me-109E et 250 Me-110C à deux générateurs, par rapport à un total de moins de 800 combattants modernes français, britanniques, bapteme en avion de chasse belges et néerlandais. -moteur et 120 chasseurs bimoteurs néerlandais et (principalement) français. Dans les premiers temps, dans l’attente d’une conquête extrêmement rapide des Pays-Bas, la Luftwaffe a concentré 180 Me-109E et 62 Me-110C de 29 Fokker D.XXI et 23 Fokker G.I dans la brigade d’aviation de l’armée néerlandaise. Avec des renforts du Hawker anglais Des conditions météorologiques sévères à venir dans plusieurs heures au départ de l’offensive allemande et le Me-110 se révélant moins efficace que prévu, les Allemands n’avaient presque pas d’avantage numérique en chasseurs sur les fronts français et belge. Tous les combattants alliés étaient en fait plus lents que le Me-109E, mais ils ont également été beaucoup plus maniables. Le Morane-Saulnier MS.406 était de loin le type de chasseur mma le plus nombreux du côté français. Il était en fait considéré comme obsolète et quelques groupes de chasse (organisations de chasseurs mma) ont été au cours de ce processus de passage à des types plus récents grâce à la campagne de mai-juin. Cependant, le MS.406 n’a en aucun cas échoué au combat. Robert Williame du GC I / 2 voyageait un en particulier alors qu’il imaginait 3 Me-109E le matin du 8 juin et se mettait en pratique en capturant trois bombardiers en plongée Junkers Ju-87B ce midi-là. La Luftwaffe a offert une brillance écrasante en bombardiers: près de 1200 bombardiers à deux moteurs Heinkel He-111, Dornier Do-17 et Do-215 et Junkers Ju-88 et 340 Ju-87 Stukas contre environ 400 bombardiers alliés, dont 38 Vought V-156F et bombardiers plongeurs Loire-Nieuport LN.411 de votre marine française. Les équipes de bombardement françaises avaient été beaucoup plus puissantes en libérant de nouveaux types que les groupements de chasseurs mma. Les modèles équipés du dernier Lioré et Olivier LeO.451 présentaient encore des problèmes avec ses méthodes hydrauliques, motorisées et pneumatiques trop sophistiquées, exacerbées par une pénurie de pièces de rechange. Les produits rééquipés avec les bombardiers américains Martin 167 et Douglas DB-7 pourraient cesser d’être utilisés réellement en service jusqu’aux 22 et 31 mai, respectivement, en raison de retards dans l’installation de leur armement. Ainsi que les Amiot 351 et 354 (modèles à une et deux ailettes du même design et du même style), qui étaient supérieurs au Ju-88 allemand, commençaient à peine à sortir de la chaîne de production et n’ont pas vu de mesures avant enfin le 4 juin, puis limité à la nuit. La plupart des bombardiers britanniques en France étaient des Fairey Struggles à moteur individuel ayant une bombe de seulement 1000 poids. Il est néanmoins improbable que les Allemands aient beaucoup profité de leur brillance numérique en bombardiers. Leur emploi le 10 mai, peut-être le tout premier jour du combat, pour attaquer les aérodromes alliés a donné des résultats finaux décourageants, normaux dans leur fonctionnalité tout au long de la campagne. 13 des 49 chasseurs de l’armée de l’air belge avaient été endommagés au sol mais seuls 31 aérodromes français de première ligne sur 91 ont été effectivement attaqués (ainsi que 16 aérodromes sans avion de combat) et seulement deux modèles d’observation de l’armée ainsi qu’un escadron de V -156Fs ont été placés complètement hors d’activité. L’avion endommagé a en fait été rapidement échangé des fournitures, tout comme le couple de chasseurs égarés par une variété de produits. Une variété d’avions d’assaut ont été photographiés vers le bas par des tirs de contre-avions, et tout au long de la matinée du 10 mai, des bombardiers allemands qui étaient censés frapper l’aérodrome de Dijon-Longvic ont incorrectement abaissé leurs bombes sur Fribourg dans le sud-ouest de l’Allemagne à 140 ml, blessant 57 civils et 101 blessés beaucoup plus. Le bombardement lourd d’emplois français sur le ruisseau de la Meuse dans le marché de Sedan le 13 mai a fourni une petite aide pratique aux troupes allemandes poussant la rivière traversant, et aussi à Dinant, une plus grande distance au nord, la 7e section Panzer d’Erwin Rommel a traversé sans l’aide de la Luftwaffe. La plupart des bombardements allemands ultérieurs furent dispersés, décousus ainsi que dans des formations modestes.

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